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 Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis

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Lanaelle
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MessageSujet: Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis   Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis EmptyDim 8 Nov - 22:50

Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis SVPBKb-esistance-dans-leurope-occupee-par-les-nazis





Les motivations
Les différences de forme
► Résistance
► Résistance organisée
Dans les différents pays





La résistance dans l'Europe occupée par les nazis englobe les différentes formes qu'a pu prendre l'opposition active à l'occupation par les forces de l'Axe et aux régimes collaborateurs au cours de la Seconde Guerre mondiale.



https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_dans_l%27Europe_occup%C3%A9e_par_les_nazis


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MessageSujet: Re: Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis   Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis EmptyLun 9 Nov - 11:37

Les motivations


Il y a deux composantes possibles dans l'activité de la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale :
• une réaction nationale contre l'occupation étrangère et de lutte militaire pour l'indépendance nationale ;
• une lutte politique et morale contre le nazisme et plus généralement le fascisme, contre la dictature qui comprend aussi la résistance allemande, la résistance espagnole à Franco qui participa aussi à la résistance au régime de Vichy et à l'Allemagne nazie en France, la résistance italienne à Mussolini et la résistance portugaise à l'Estado Novo qui participa également à la résistance française.



Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis UVPBKb-charles-de-gaulles
Charles de Gaulle passant en revue des marins de la France libre.


Les mouvements de résistance pouvaient avoir des origines et des motivations politiques radicalement différentes, pouvant dégénérer en grandes tensions politiques. Ainsi, durant la guerre en Yougoslavie, les Partisans communistes et les Tchetniks royalistes entrèrent en conflit armé, qui s'acheva en même temps que l'occupation par la victoire des communistes et l'établissement du régime de Tito. En Grèce, l'opposition entre résistants communistes et monarchistes dégénéra également, pour déboucher après l'occupation sur la guerre civile grecque.



Les différences de formes


Des historiens comme Jacques Sémelin distinguent la résistance civile, souvent inorganisée, et par laquelle les populations occupées tâchent de maintenir leurs valeurs et de manifester leur esprit de refus, de la résistance organisée, qu'elle revête ou non des formes non-violentes. Celle-ci passe par l'existence de mouvements, de réseaux et de maquis, regroupant une minorité de la population, mais qui ne sauraient subsister sans de nombreuses complicités populaires. L'historien François Marcot appelle quant à lui ces deux formes « Résistance organisation » et « Résistance comme mouvement social », cependant tous les historiens ne donnent pas la même importance à la thèse fondamentaliste de la résistance organisée et de la thèse sociétale de la résistance civile.



Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis TVPBKb-napoleon-zervas
Napoleon Zervas, chef militaire de l'EDES, une des organisations minoritaires de la résistance grecque.



Il faut ajouter la résistance extérieure poursuivie hors du territoire national par de nombreux gouvernements en exil et par leurs combattants. Les FFL gaullistes s'illustrent à Bir Hakeim (mai 1942) ou sur le front russe dans l'escadrille Normandie-Niemen. Les Polonais sont présents sur tous les fronts de guerre, de la France de 1940 et de la bataille aérienne d'Angleterre au Mont-Cassin et à la Normandie. C'est de Londres qu'un commando tchèque vient abattre Heydrich, le « boucher de Prague », le 27 mai 1942, ce qui entraîne le massacre des habitants de Lidice.



► Résistance


Des manifestations diverses démontrent toute la guerre l’audience des mouvements de résistance et de la radio de Londres dans l’opinion européenne : célébration des anniversaires-symboles à travers l’Europe occupée (fêtes et grandes victoires nationales), manifestations symboliques en France, où elles ont été les plus nombreuses, celle des étudiants aux Champs-Élysées le 11 novembre 1940, celle du 1er janvier 1941, celle du 31 octobre 1941 en réponse au massacre des otages de Châteaubriant, ou bien la « campagne des V » orchestrée par la BBC, qui couvre les murs de Paris du signe de la victoire à l’irritation des Allemands. De même, une symbolique se développe : porter à sa boutonnière un signe de reconnaissance indiquant par exemple sa fidélité au monarque en exil. Une résistance plus intime peut également se manifester à travers les lettres et journaux intimes (simples récits de vie privée, certains deviennent de véritables chroniques politiques), « écrits des tiroirs » destinés à n'être publiés qu'après la fin du Troisième Reich. Autre exemple de résistance spontanée et massive, la population luxembourgeoise boycotta à 98 % le référendum organisé par les nazis pour ratifier l'annexion du grand-duché, et déclencha en août 1942 une grève générale durement réprimée contre l’incorporation forcée des jeunes dans la Wehrmacht.


Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis SVPBKb-division-roumaine-alliee-vladimirescu
La division roumaine alliée „Vladimirescu” (constituée en 1941) entrant dans Bucarest l'été 1944 ; en bas, passée en revue par le roi Michel



Aux Pays-Bas, la première grève antiraciste de l'Histoire éclata les 25 et 26 février 1941 à Amsterdam et environs pour protester contre la persécution des Juifs ; en 1943, le corps médical néerlandais démissionna collectivement pour refuser l’exclusion sur ordre des médecins juifs et la subordination à un organe corporatiste collaborationniste. 500 000 Néerlandais se mirent aussi en grève contre le STO en mars 1943, la plus vaste grève de l'Europe occupée, tandis que les départs forcés de main-d'œuvre provoquèrent à Athènes des manifestations de masse quasi-insurrectionnelles et la chute de deux gouvernements fantoches en 8 mois.


De nombreux civils européens se dévouèrent pour offrir une protection opérante aux pourchassés et persécutés, résistants, aviateurs abattus, réfractaires au STO, et bien sûr aux Juifs. Les manifestantes ‘‘aryennes’’ de la Rosenstraße parvinrent en 1943, en plein Berlin, à faire libérer leurs maris juifs. En Bulgarie, un vaste mouvement d'opinion empêcha la déportation des Juifs nationaux au printemps 1943. De nombreux « Justes parmi les nations » sauvèrent des Juifs de la mort.

Cette vision extensive de la résistance civile peut aller jusqu'à considérer le juif qui lutte contre la faim dans un ghetto comme un résistant, ce que conteste l'historien Raul Hilberg.



► Résistence organisée



Elle passe par l'organisation d'une presse clandestine (un millier de titres en France, plus de 1 200 aux Pays-Bas), de réseaux de renseignements, de groupes de sabotages, de mouvements de lutte armée. La guérilla fut surtout présente en Europe de l'Est, où les partisans yougoslaves, grecs et soviétiques parviennent assez tôt à contrôler des régions entières. La Biélorussie compte ainsi la plus forte concentration de partisans d'Europe. L'Armia Krajowa polonaise mit quant à elle sur pied un véritable contre-État clandestin, doté de moyens de propagande anti-nazie (exemple).





Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis UVPBKb-resistant-ghettos-de-vilnius
Les résistants du ghetto de Vilnius : la Fareynikte Partizaner Organizatsye.


Les résistants proviennent de tous les milieux. Si leurs divisions politiques et stratégiques peuvent se conclure sur des affrontements sanglants en Yougoslavie, en Pologne et en Grèce, en revanche la Résistance intérieure française parvient à un haut degré d'unification, le Conseil national de la Résistance étant fondé le 27 mai 1943 par Jean Moulin sous l'autorité de la France libre.





Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis TVPBKb-istance-polonaise
Résistance polonaise pendant la Seconde Guerre mondiale (1944).



Les Alliés firent des résistants une source non négligeable de renseignements et trouvèrent en elle un appui précieux pour les sabotages stratégiques. Ainsi, à la veille du débarquement en Normandie (le 6 juin 1944, opération Overlord) en France ou de l'opération Bagration en Biélorussie (22 juin 1944), d'innombrables destructions de voies ferrées et de moyens de communication aidèrent les offensives. Ils ne furent pas toutefois sans se méfier souvent de ces soldats sans uniforme, ou sans sous-estimer leur efficacité.


Article annexe : Résistance dans l'Europe occupé par les Nazis TVPBKb-resistants-hollandais-et-soldats-americains
Résistants néerlandais et soldats américains durant l'Opération Market Garden.


La résistance juive a la spécificité de provenir d'un peuple en proie à une entreprise d'extermination systématique. Qu'ils mettent ou non en avant leur identité juive, les Juifs sont surreprésentés dans la plupart des réseaux, mouvements et groupes de partisans d'Europe (ainsi la MOI en France). À l'Est, plus de 40 ghettos ont connu des attentats anti-allemands ou des mouvements de révolte organisée. Il y en eut jusqu'aux camps d'extermination de Treblinka, de Sobibor (14 octobre 1943) et d'Auschwitz-Birkenau (révolte du Sonderkommando, 7 novembre 1944). Alors que 85 % du ghetto de Varsovie a déjà été déporté sans difficulté par les nazis, un millier de jeunes militants de l'Organisation Juive de Combat déclenchent une insurrection le 19 avril 1943, dans le but explicite de prouver à la postérité que les Juifs ne s'étaient pas laissé conduire passivement à la mort. Avec peu d'armes et sans chance de survie, ils tiennent tête aux SS plus d'un mois, là où des États n'avaient pas résisté ou avaient succombé en quelques jours.

Dans les différents pays


Albanie : Mouvement de Libération Nationale
Allemagne : Résistance allemande au nazisme
Autriche : Résistance en Autriche pendant la Seconde Guerre mondiale
Belgique : Résistance intérieure belge
Danemark : Occupation du Danemark
France : France libre, Résistance intérieure française, SOE-F, Histoire de l'Empire colonial français pendant la Seconde Guerre mondiale
Grèce : Résistance en Grèce pendant la Seconde Guerre mondiale, Front de libération nationale-Armée populaire de libération nationale grecque (EAM-ELAS), Ligue nationale démocratique grecque (EDES)
Italie : Résistance en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale
Luxembourg : Résistance au Luxembourg pendant la Seconde Guerre mondiale
Norvège : Résistance norvégienne
Pays-Bas : Résistance intérieure aux Pays-Bas
Pologne : Résistance polonaise pendant la Seconde Guerre mondiale
Roumanie : Résistance en Roumanie pendant la Seconde Guerre mondiale
Tchécoslovaquie : Tchécoslovaquie pendant la Seconde Guerre mondiale
Yougoslavie : Partisans, Tchetniks, Trieste, Istrie, Gorizia et Rijeka (groupe de Résistance slovène)



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Tito, chef des Partisans yougoslaves.


Lituanie : Résistance en Lituanie pendant la Seconde Guerre mondiale

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_dans_l%27Europe_occup%C3%A9e_par_les_nazis


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Résistance allemande

La résistance allemande au nazisme (1933-1945), longtemps méconnue hors d'Allemagne, s'est manifestée sous diverses formes, en provenance de tous les milieux politiques, sociaux et confessionnels, quoique les communistes aient organisé les groupes de résistance actifs les plus importants.

On distingue plusieurs formes de résistance au nazisme à l'intérieur de l'Allemagne même et des territoires annexés. Ses éléments les plus connus, bien que d'importance numérique très différentes, sont l'organisation communiste Orchestre rouge, le groupe d'étudiants chrétiens de La Rose blanche à Munich, ou le regroupement très informel des groupes de la Rose blanche de Hambourg, et la résistance militaire.


[…]



https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_allemande_au_nazisme


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Résistance italienne


La résistance en Italie pendant la Seconde Guerre mondiale (en italien : Resistenza ; Resistenza partigiana ou Secondo Risorgimento) est un terme générique qui désigne les activités des groupes de résistance qui se sont opposés aux forces d'occupation allemandes et au régime fasciste italien de la République sociale italienne pendant les dernières années de la Seconde Guerre mondiale. Ce mouvement englobe l'ensemble des mouvements politiques et militaires composés d'Italiens de tout âge, sexe, opinion politique et classe sociale, après l'invasion du pays par les Alliés, l'armistice entre l'Italie et les forces armées alliées, et l'occupation militaire allemande de l'Italie du Nord. Le conflit auquel ils ont pris part s'appelle la Guerre de libération d'Italie, lorsqu'ils ont pris part à la campagne d'Italie contre l'Axe, ou la Guerre civile italienne, lorsqu'ils se réfèrent spécifiquement au conflit contre les fascistes. La République italienne se revendique comme étant issue de la lutte de la résistance.


[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_en_Italie_pendant_la_Seconde_Guerre_mondiale


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Mussolini


Benito Mussolini, né le 29 juillet 1883 à Predappio et mort le 28 avril 1945 à Giulino di Mezzegra, est un journaliste, idéologue et homme d'État italien.

Fondateur du fascisme, il est président du Conseil du royaume d'Italie, du 31 octobre 1922 au 25 juillet 1943, premier maréchal d'Empire du 30 mars 1938 au 25 juillet 1943, et chef de l'État de la République sociale italienne (RSI) de septembre 1943 à avril 1945. Il est couramment désigné par le terme « Duce », mot italien dérivé du latin Dux et signifiant « Chef » ou « Guide ».

Il est d'abord membre du Parti socialiste italien (PSI) et directeur du quotidien socialiste Avanti! à partir de 1912. Anti-interventionniste convaincu avant la Première Guerre mondiale, il change d'opinion en 1914, se déclarant favorable à l'entrée en guerre de l'Italie. Expulsé du PSI en novembre 1914, il crée son propre journal, Il Popolo d'Italia (Le peuple d'Italie) qui prend des positions nationalistes proches de celles de la petite bourgeoisie. Dans l'immédiate après-guerre, profitant du mécontentement de la « victoire mutilée », il crée le Parti national fasciste (PNF) en 1921 et se présente au pays avec un programme politique nationaliste, autoritaire, antisocialiste et antisyndical, ce qui lui vaut l'appui de la petite bourgeoisie et d'une partie des classes moyennes industrielles et agraires.

Dans le contexte de forte instabilité politique et sociale qui suit la Grande Guerre, il vise la prise du pouvoir en forçant la main aux institutions avec l'aide des paramilitaires squadristi et l'intimidation qui culminent le 28 octobre 1922 avec la marche sur Rome. Mussolini obtient la charge de constituer le gouvernement le 30 octobre 1922. En 1924, après la victoire contestée des élections et l'assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti, Mussolini assume l'entière responsabilité de la situation. La série de lois fascistissimes lui attribue, à partir de 1925, des pouvoirs dictatoriaux et fait de l'Italie un régime fasciste à parti unique.

Après 1935, il se rapproche du régime nazi d'Adolf Hitler avec qui il établit le Pacte d'acier (1939). Convaincu d'un conflit à l'issue rapide, il entre dans la Seconde Guerre mondiale au côté de l'Allemagne nazie. Les défaites militaires de l'Italie et le débarquement des Alliés sur le sol italien entraînent sa mise en minorité par le Grand Conseil du fascisme le 24 juillet 1943 : il est alors destitué et arrêté par ordre du roi. Libéré par les Allemands, il instaure en Italie septentrionale la République sociale italienne. Le 25 avril 1945, alors qu'il tente de fuir pour la Valteline déguisé en soldat allemand, il est capturé par un groupe de partisans. Il est ensuite fusillé avec sa maîtresse Clara Petacci ; leurs corps sont livrés à une foule en colère et pendus par les pieds au carrefour de Piazzale Loreto, à Milan.


[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Benito_Mussolini


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Estado Novo



L’Estado Novo (en français : « État nouveau ») qualifie le régime corporatiste autoritaire de la Deuxième République portugaise de 1933 à 1974. La figure centrale de ce régime est António de Oliveira Salazar. La révolution des Œillets, le 25 avril 1974, met fin à 48 ans de « militaro-salazarisme »


[…]


Taillé sur mesure pour et par Salazar, l’Estado Novo est un régime avec une gouvernance autoritaire. L'opposition politique n'a pas de reconnaissance officielle, elle est muselée, et le pouvoir exécutif (le Conseil des ministres) a toute autorité sur le pouvoir législatif (le Parlement et la Chambre corporative), sans avoir à lui rendre de comptes en cas de désaccord. L'orthodoxie de l'équilibre budgétaire et la conservation des colonies (plus tard nommées territoires d'outre-mer) sont érigées en dogmes par l’Estado Novo, sous l'impulsion affichée de Salazar. Toute opposition politique qui sort de ces dogmes est impitoyablement écartée de l'échiquier politique intérieur.

Le nouveau régime s'appuie sur les piliers traditionnels du pays, en établissant un concordat avec l'Église catholique romaine, avec l'armée, avec les branches corporatives que sont les syndicats représentant tous les corps de métiers représentés par la Chambre corporative. Les grèves sont déclarées illégales. Les syndicats ouvriers et patronaux passent sous contrôle de l'État. Le Parti communiste et la CGT portugais sont déclarés illégaux. Toutefois, des élections sont conduites sur la base d'un suffrage partiel au sein des deux chambres, mais les listes ne portent à chaque fois qu'un seul candidat. Le caractère nationaliste, antidémocratique et antipluraliste du régime est ici affirmé dans un texte fondateur, la constitution de 1933.


[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Estado_Novo_(Portugal)



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Résistance française


La résistance intérieure française, appelée en France la Résistance, englobe l'ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944.

Cette lutte comprend des actions militaires : de renseignement et de sabotage contre les troupes d'occupation (essentiellement allemandes) et les forces du régime de Vichy, ainsi que des actions civiles comme la presse clandestine, la diffusion de tracts, la fabrication de faux papiers, l'organisation de grèves et de manifestations, le sauvetage des prisonniers de guerre évadés, des réfractaires au STO et des Juifs persécutés.

Ce que l'on appelle aussi « l'Armée des ombres » a rassemblé des hommes et des femmes de tous horizons, exposés tous à une forte répression de la part de RSHA (Office central de la sécurité du Reich dont fait partie la Gestapo), de l’Abwehr, de la Wehrmacht, ainsi que de la Milice française et de la police de l’État français.

Si la Résistance active et organisée n'a jamais rassemblé plus de 2 ou 3 % de la population française, elle n'aurait pu survivre ni se développer sans de multiples complicités populaires, en particulier à l'époque des maquis. De même, c'est grâce à la solidarité de la population que les personnes persécutées par Vichy ont pu leur échapper.

L'histoire de la Résistance intérieure est indissociable de celle de la France libre. Le général de Gaulle, chef des Français libres, réfugié à Londres, dirige ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers reçoivent la charge d'unifier tous les courants et mouvementes de la Résistance intérieure, sous l'égide de Londres puis d'Alger. La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.

Des formes de résistance ont également existé en Afrique française du Nord et dans le reste de l'Empire colonial français, ainsi qu'en Alsace et en Moselle, les départements annexés par le III Reich.



[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_int%C3%A9rieure_fran%C3%A7aise



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Partisans communistes


Les Partisans (Partizan, pluriel Partizani) étaient un mouvement armé de résistance yougoslave d'inspiration communiste qui était dirigé par Josip Broz Tito, et combattit contre l'État indépendant de Croatie, l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste durant la Seconde Guerre mondiale.

Mouvement de guérilla au début du conflit, les Partisans renforcèrent leurs capacités militaires au fur et à mesure du conflit. Ils portèrent successivement les noms officiels de Détachements partisans de libération populaire de Yougoslavie (NOPOJ) de juin 1941 à janvier 1942, puis Détachements partisans de libération populaire et Armée des volontaires de Yougoslavie (NOP I DVJ) de janvier à novembre 1942, avant d'adopter leur nom définitif d'Armée de libération nationale et détachements de partisans de Yougoslavie. En mars 1945, les Partisans devinrent officiellement l'Armée populaire yougoslave, qui fut ensuite l'armée de la Yougoslavie communiste.

Le terme de Partisans désigne exclusivement, dans les pays de l'ex-Yougoslavie et dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale, les résistants communistes.



[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Partisans_(Yougoslavie)



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Tchetniks


Les Tchetniks, dont le nom est orthographié en anglais Chetniks, sont une force armée yougoslave, active durant la Seconde Guerre mondiale, fondée par Draža Mihailović, officier de l'armée royale yougoslave, pour mener la résistance contre l'occupation de la Yougoslavie par les forces de l'Axe. Le nom Tchetniks signifie Membre d'une compagnie militaire ou de manière plus générique Combattant armé. Bien que d'autres groupes aient été, à des époques différentes, désignés sous ce nom, le terme de Tchetniks désigne généralement, depuis la Seconde Guerre mondiale, l'organisation de Mihailović.

Mihailović lui-même avait choisi le nom de Tchetniks, son but étant de reprendre les méthodes traditionnelles de guérilla utilisées par les Serbes contre les Ottomans, puis pendant les guerres balkaniques et la Première Guerre mondiale. Ses Tchetniks étaient également surnommés le Mouvement de Ravna Gora, du nom de leur lieu de fondation. Une fois reconnus par le gouvernement en exil du royaume de Yougoslavie, les Tchetniks de Mihailović ont reçu le nom officiel de Jugoslovenska vojska u otadžbini (JVO), traduit en français par Armée yougoslave dans la patrie, Armée yougoslave dans le pays, ou Armée yougoslave de l'intérieur.

Reconnus et soutenus initialement par les Alliés, les Tchetniks ne disposent pas d'une organisation centralisée et entrent en conflit avec l'autre force de résistance, les Partisans dirigés par le chef communiste Josip Broz Tito. Quelques chefs tchetniks, agissant indépendamment de Mihailović, privilégient bientôt le combat contre les communistes, et c'est pourquoi les Tchetniks furent, après-guerre, qualifiés par l'historiographie titiste (et, à sa suite, internationale) d'« organisation nationaliste serbe collaborant avec l'occupant et ayant massacré des populations civiles croates et musulmanes », amalgamant ainsi les tchetniks antifascistes de la résistance avec les tchetniks noirs, pro-fascistes et collaborationnistes.

Après la fin 1943, les hommes de Mihailović cessent d'être soutenus par les Alliés qui jugent les Partisans plus efficaces dans le combat contre les Allemands. Les Tchetniks sont défaits par les Partisans en 1944-45 ; Mihailović lui-même est condamné et exécuté pour collaboration par le nouveau régime communiste yougoslave.



[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Tchetniks




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Tito


Josip Broz Tito, né Josip Broz le 7 mai 1892 officiellement à Kumrovec (Autriche-Hongrie, actuelle Croatie) et mort le 4 mai 1980 à Ljubljana (RS de Slovénie), communément appelé le maréchal Tito, est un homme d'État yougoslave.

Josip Broz participa durant l'entre-deux-guerres aux activités du Parti communiste yougoslave clandestin, puis mena diverses missions en Europe pour le compte du Komintern. Il utilisa, pendant cette période, les noms de guerre de « Walter », puis de « Tito ». Revenu en Yougoslavie à la fin des années 1930, il prit la tête du Parti communiste. Durant la Seconde Guerre mondiale, il prit la tête de la résistance communiste en Yougoslavie et parvint, au bout de quatre ans de conflit sanglant, à triompher de l'ensemble de ses adversaires et à réunifier sous sa bannière la Yougoslavie qui avait été démembrée à la suite de l'invasion de 1941.

S'étant assuré le monopole du pouvoir dès 1945, il fonda après-guerre le régime communiste yougoslave, dont il resta le principal dirigeant jusqu'à sa mort en 1980, avec les titres officiels de président du Conseil exécutif (chef du gouvernement), puis de président de la République (président à vie à partir de 1974). Il était également « maréchal de Yougoslavie » (du 29 novembre 1943 à sa mort, en 1980), le grade le plus élevé de l'armée de ce pays, dont il fut le seul titulaire. En tant que chef de gouvernement puis chef d'État, Tito utilisait de manière officielle le nom de Josip Broz Tito (parfois orthographié Josip Broz-Tito), en accolant son nom de guerre à son nom de naissance.

La Yougoslavie ayant rompu avec l'URSS en 1948, Tito opta ensuite, pendant la guerre froide, pour une politique de neutralité et de bonnes relations avec l'Ouest. Il fut, à ce titre, l'un des fondateurs du mouvement des non-alignés.



[…]



https://fr.wikipedia.org/wiki/Josip_Broz_Tito
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Jacques Sémelin


Jacques Semelin, né au Plessis-Robinson, est un historien et politologue français. Directeur de recherche émérite au CNRS affecté au Centre d'études et de recherches internationales (CERI), il est spécialiste des génocides et des violences extrêmes, des formes de résistances civiles et de sauvetage, et de la survie des juifs en France durant la seconde guerre mondiale. Depuis 1998, il enseigne à Sciences Po Paris où il a créé un cours pionnier sur les violences de masse.

[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Semelin


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FFL

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Forces françaises libres (FFL) était le nom donné aux forces armées ralliées à la France libre sous l'égide du général de Gaulle. Leur emblème est la croix de Lorraine mais l'insigne des forces terrestres est un glaive ailé.

[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_fran%C3%A7aises_libres


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STO


Le recours au travail forcé et à l'esclavage dans le Troisième Reich et dans toute l'Europe sous domination nazie pendant la Seconde Guerre mondiale fut d'une ampleur sans précédent. Ce fut une part importante, considérée comme vitale, de l'exploitation économique allemande des territoires conquis, contribuant également à l'extermination massive des populations en Europe occupée par les Allemands. Les Allemands ont environ mobilisés 12 millions de personnes dans près de vingt pays européens ; les deux tiers environ venaient d'Europe centrale et d'Europe de l'Est. De nombreux travailleurs succombèrent en raison de leurs conditions de vie dût aux mauvais traitements, une malnutrition sévère, ou sous la torture, ce qui étaient les principales causes de décès.

De nombreux autres devinrent des victimes civiles des bombardements ennemis sur leurs lieux de travail (notamment les usines) tout au long de la guerre. À son apogée, les travailleurs forcés représentaient 20% de la main-d'œuvre allemande. En comptant les décès et le renouvellement des effectifs, environ 15 millions d'hommes et de femmes furent travailleurs forcés à un moment donné pendant la guerre.

La défaite de l'Allemagne nazie en 1945 fit libérer environ 11 millions d'étrangers (classés comme « personnes déplacées »), dont la plupart étaient des travailleurs forcés et des prisonniers de guerre. En temps de guerre, les forces allemandes déportèrent dans le Reich 6,5 millions de civils en plus des prisonniers de guerre soviétiques pour du travail forcé dans les usines; les renvoyer chez eux fut une priorité pour les Alliés. Cependant, concernant les citoyens de l'URSS, le retour signifiait souvent des soupçons de collaboration et donc une déportation vers le Goulag. L'Administration des Nations unies pour le secours et la reconstruction (UNRRA), la Croix-Rouge et les opérations militaires ont fourni de la nourriture, des vêtements, un abri et une assistance pour leur retour chez eux. En tout, 5,2 millions de travailleurs étrangers et de prisonniers de guerre ont été rapatriés en Union soviétique, 1,6 millions en Pologne, 1,5 millions en France et 900 000 en l'Italie, ainsi que 300 000 à 400 000 en Yougoslavie, en Tchécoslovaquie, aux Pays-Bas, en Hongrie et en Belgique.



[…]


https://fr.wikipedia.org/wiki/Travail_forc%C3%A9_sous_domination_nazie_pendant_la_Seconde_Guerre_mondiale


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«Juste parmi les Justes »

« Juste parmi les nations » (en hébreu : חסיד אומות העולם, Hasid Ummot Ha-'Olam, littéralement « généreux des nations du monde ») est une expression du judaïsme tirée du Talmud (traité Baba Batra, 15 b).

En 1953, la Knesset (parlement d'Israël), en même temps qu’elle créait le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem consacré aux victimes de la Shoah, décida d’honorer
« les Justes parmi les nations qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs ». Le titre de Juste est décerné au nom de l’État d’Israël par le mémorial de Yad Vashem. Au 1er janvier 2016, 25 271 Justes parmi les nations de 46 pays ont été honorés ; la Pologne, les Pays-Bas et la France sont les pays dont les citoyens ont été le plus médaillés. En tout, les Justes ont sauvé des centaines de milliers de personnes.

Il s’agit actuellement de la plus haute distinction honorifique délivrée par l'État d'Israël à des civils.



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https://fr.wikipedia.org/wiki/Juste_parmi_les_nations

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Raul Hilberg


Raul Hilberg est un historien et politologue juif américain d'origine autrichienne, né le 2 juin 1926 à Vienne en Autriche et mort le 4 août 2007 dans l'État du Vermont aux États-Unis.

Spécialiste de la Shoah de réputation internationale, il a été le premier à reconstituer dans une synthèse d'envergure, richement étayée, le processus d'ensemble du génocide perpétré à l'encontre des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale dans tous ses aspects politiques, économiques, techniques, administratifs et humains.


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https://fr.wikipedia.org/wiki/Raul_Hilberg



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Armia Krajowa


L'Armia Krajowa (« Armée de l'intérieur », AK) était le plus important mouvement de résistance en Pologne sous l'occupation allemande en 1939-1945 et soviétique en 1939-1941. Elle fut active principalement de septembre 1939 à janvier 1945, même si certains partisans continuèrent la lutte après la Seconde Guerre mondiale, qui vit la domination de la Pologne par l'URSS stalinienne. Elle formait l'aile armée de ce qui fut connu sous le nom d'État polonais clandestin (państwo podziemne).

À partir de 1945, l'AK fut brutalement démantelée par l'Armée rouge et le NKVD. Plusieurs de ses militants furent emprisonnés, beaucoup exécutés sans aucune forme de procès, d'autres enfin envoyés dans des camps en Sibérie et le reste a été intégré à l'armée polonaise contrôlée par le Parti ouvrier polonais (Polska Partia Robotnicza, PPR)



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https://fr.wikipedia.org/wiki/Armia_Krajowa



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Jean Moulin



Jean Moulin, né le 20 juin 1899 à Béziers et mort le 8 juillet 1943 près de Metz, en Moselle annexée, est un haut fonctionnaire et résistant français.

Préfet de l'Aveyron puis d'Eure-et-Loir, refusant l'occupation nazie, il rejoint en septembre 1941, l'organisation de résistance la France libre à Londres en passant par l’Espagne et le Portugal. Il est reçu par Charles de Gaulle à qui il fait un compte rendu de l’état de la Résistance en France et de ses besoins, notamment financiers et en armement.


À l'issue de quelques entretiens, il est envoyé à Lyon par Charles de Gaulle pour unifier les mouvements de la Résistance. Il est arrêté à Caluire-et-Cuire, dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon où il est torturé ; il est ensuite transféré à la Gestapo de Paris. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz.

Il dirigea le Conseil national de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération de la France, puis général de division en novembre 1946.

Un cénotaphe lui est dédié au Panthéon où se trouvent les tombeaux des grands personnages de la République française. Son corps n'a jamais été identifié avec certitude, et l'urne transférée au Panthéon ne contient que les « cendres présumées de Jean Moulin ».


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https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Moulin



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MOI


La Main-d'œuvre immigrée, généralement désignée par le sigle MOI, fut d'abord une organisation de type syndical, regroupant les travailleurs immigrés de la Confédération générale du travail unitaire (CGTU) dans les années 1920. Elle s'appela d'abord MOE : Main d'œuvre étrangère et dépendait de l'Internationale syndicale rouge (ISR). À cause de la vague de xénophobie des années 1930, le Parti communiste français, qui dirige de fait ce secteur syndical, lui préféra le terme de MOI.


L'organisation joue un rôle de soutien important pendant la guerre civile espagnole aux Républicains espagnols puis prend activement part à la Résistance, sous l'appellation FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans - Main-d'œuvre immigrée).

Le plus célèbre de ses membres est Missak Manouchian et la FTP-MOI est rendue célèbre par l'Affiche rouge, une affiche de propagande allemande exposant les photos de 10 des 23 membres de la FTP-MOI après leur arrestation à la fin de 1943, stigmatisant la présence d'étrangers et de Juifs dans la Résistance française et parlant d'« armée du crime ».



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https://fr.wikipedia.org/wiki/Main-d%27%C5%93uvre_immigr%C3%A9e
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